Russie : Affaire coup d’état ou rébellion de Wagner contre Poutine, « Voici comment les Etats-Unis et l’Europe sont tombés dans le piège de Moscou »

C’est à un véritable jeu d’échec que le monde a assisté entre vendredi et samedi en Russie et qui s’est dénommé coup d’état ou encore rébellion de Wagner contre Poutine.

Ces événement digne d’un film Hollywoodien, ont mis en branle toute l’Eutrope et son allié américain. Pour certains, ce prétendu coup d’état sonne la chute du pouvoir de Poutine ou même la preuve qu’il y a une fissure au sein des forces Russes.

Sur son site internet, France24 a publié la déclaration du chef de la diplomatie de l’UE, Josep Borrell, qui fait savoir que « la rébellion de Wagner montre que la guerre en Ukraine est en train de « faire craquer la puissance russe ».

« Ce qui s’est passé au cours de ce week-end montre que la guerre contre l’Ukraine fait se fissurer la puissance russe et affecte son système politique. Le monstre (Wagner) est en train de mordre son créateur », avait-il commenté.

Plusieurs médias occidentaux et américains se sont mobilisés pour relayer ce qui se déroulait en Russie, que tous qualifiaient de rébellion de Wagner, avant de plus tard, revenir à la raison en ajoutant le mot « avorté » à Rébellion de Wagner.

Pendant ce temps, le maire de la capitale russe, Sergueï Sobianine, lève toutes les restrictions liées à la mise en place du régime d’opération antiterroriste via son compte Telegram, remerciant les habitants pour leur « calme et compréhension ».

Alors que cette mise en scène se déroulait, le groupe paramilitaire Russe Wagner se rapprochait de la capitale Ukrainienne et se retirait des positions qu’il occupait pendant les événements de vendredi et samedi. Comme pour dire que la guerre, c’est aussi savoir faire diversion et distraire son ou ses adversaires.

« Penser à une déchirure entre le Président Vladimir Poutine et le chef de Wgner, Evguéni Prigojine, c’est se foutre le doigt dans l’œil », a déclaré à Ivoirnws24.net, un dignitaire Russe sous couvert de l’anonymat.

Nous y reviendrons.

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