Affaire deal passé entre le géant des VTC, UBER et Emmanuel Macron, « Le Président Français en pilonné de partout »

Un accord secret qui passe mal. Depuis la révélation, par le journal Le Monde, dimanche 10 juillet, d’un deal entre Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie et des Finances, et les dirigeants d’Uber pour faciliter l’implantation du géant du VTC en France, le président est sous le feu des critiques.

Alors que la gauche fustige un gouvernement « main dans la main avec les lobbies », la droite appelle le président à « rendre des comptes ». L’ancien secrétaire d’État en charge des Transports, Alain Vidalies, qui supervisait le dossier affirme, quant à lui, « tomber des nues ».

En concluant un accord « gagnant-gagnant » avec Emmanuel Macron, l’entreprise américaine aurait accepté d’arrêter en France, son service UberPop (service de chauffeur occasionnel), visé par des procédures légales, en échange d’une simplification des conditions nécessaires pour obtenir une licence de VTC.

« Il n’y a pas de deal, il n’y a pas de contrepartie, il y a un ministre qui a reçu de grands chefs d’entreprise et c’est normal », a affirmé, lundi 11 juillet, la patronne des députés Renaissance, Aurore Bergé, défendant l’action d’Emmanuel Macron.

Avec France24.com

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