Black TÉA projeté au Majestic Cinéma de l’Hôtel Ivoire, « Abderrahmane Sissako met en avant les relations entre la Côte d’Ivoire et la Chine »

La salle de Cinéma Majestic du Sofitel hôtel ivoire d’Abidjan a abrité, le vendredi 11 octobre, la projection du film BLACK TEA.

Dans ce film qui fait la promotion cinématographique Ivoirienne, le réalisateur, Abderrahmane Sissako, met en scène l’histoire d’amour entre une ivoirienne et un Chinois. L’exclusivité de ce film s’est faite en présence d’un parterre de cinéphiles qui, tout au long de cette projection ont découvert l’histoire de ce film mélancolique, sensuel et onirique, qui dit la rencontre de la Chine et de l’Afrique à travers une histoire d’amour entre un Chinois et une Ivoirienne. C’est l’histoire d’Aya, incarnée par l’actrice Nina Mélo, qui crève littéralement l’écran.

Dans ce film aya et Cai incarnent à eux deux la rencontre de l’Afrique et de la Chine une relation sociale, politique et économique.

Madame Lysson Diomandé, directrice générale de l’Office national du cinéma de Côte d’Ivoire (Onac-Ci), Lysson, a tenu à saluer l’exclusivité de cette projection. elle a affirmé que le film s’inscrit dans la vision de la ministre de la Culture et de la Francophonie, Françoise Remarck, qui aspire à faire de la Côte d’Ivoire une terre de tournage. « La Côte d’Ivoire est prête à accueillir d’autres productions », a-t-elle souligné.

L’actrice principale Nina Mélo, appelée Aya dans le film, a exprimé sa gratitude envers la direction du cinéma Majestic tout en exposant ce film comme un gros cadeau de la vie.

Elle a fait savoir qu’une partie de ce film a été tournée dans le quartier de Blockhaus d’Abidjan-Cocody. Poursuivant, elle a partagé les défis auxquels elle a été confrontée lors de la réalisation de ce chef d’œuvre, à savoir l’apprentissage du mandarin (langue chinoise), tout en précisant avoir mis plus d’un mois pour apprendre les bases.  

la projection du film BLACK TÉA qui sera bientôt diffusé dans toutes les salles Majestic de Côte d’Ivoire et dans plusieurs pays de sous-région, dont le Sénégal, l’Algérie et le Maroc, le Cameroun et bien d’autres apporte une nouvelle pierre à l’édifice dans la liste des films réalisés par Abderrahmane Sissako.

Pour conclure, le film « Black Tea » marque le retour au cinéma du grand cinéaste, Abderrahmane Sissako, mondialement reconnu, dix ans après le triomphe de « Timbuktu » qui a connu des récompenses en abondance et du succès.

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